vendredi 8 juillet 2011

TEMOIGNAGES PATIENTS

ARRETER DE FUMER SANS REPRENDRE NI STRESS, Sandra. T, responsable bancaire, IdF

Je tiens par ce témoignage à remercier d'une part le talent de Myriam ROURE et à la féliciter pour les résultats obtenus. Par son contact, sa voix, sa technique je me suis sentie tout de suite en confiance. Ses compétences plurielles (Hypnose, Somatothérapie, PNL, Intelligence Emotionnelle lui permettent de travailler à la fois sur le corps, le cour et la tète. L'être humain à des ressentis, des émotions ainsi que des pensées, et sa pratique lui permet d'intervenir sur ces trois plans. Nous avons réussi ensemble à diminuer mes peurs, limiter mes compulsions (comme l'arrêt total de la cigarette alors que je fumais depuis l'âge de 15 ans), ainsi qu'à cicatriser des chocs émotionnels du passé. De plus, elle a réussi à optimiser mon potentiel et mes ressources. Le résultat est un meilleur sommeil, une meilleure gestion des émotions et de ma confiance. Je me sens plus forte dans tous les domaines de ma vie. Je ne la remercierai jamais assez de m'avoir aidée à gérer mon stress et à tirer le bénéfice de l'arrêt total de la cigarette. Je n'ai aucunes envies et aucunes tentations, et je me sens libérée de cette dépendance. Certain(es) de mes ami(es) qui sont allé(es) la consulter ont également vécu la réussite dans le dépassement de leurs problèmes, grâce aux CDs d'accompagnement ainsi qu'aux séances. Mon frère, a réussi l'arrêt de la cigarette également (consommation excessive de 1 paquet par jour depuis des années), par les CDs qui sont admirablement bien réalisés, je parle des textes, de la musique ainsi que de la voix. Les écouter régulièrement sont une concrète source d'énergie pour moi, je les écoute souvent le soir avant de m'endormir, ils m'apaisent et me boostent pour ma journée du lendemain. Je recommande son contact à vous qui lisez ce témoignage et ressentez le besoin d'être accompagné.

ARRÊT TABAC - Franck, financier, 30 ans, Paris

Ma sœur avait consulté Mme Roure pour cesser de fumer, et donc elle m’a fait écouter le CD qu’elle-même écoutait entre les séances, et comme ca a marché sur elle, j’ai essayé. Effet immédiat ! Bien que peu convaincu des effets de l'hypnose (et encore moins par la simple écoute d'un CD... !) la première écoute fut la bonne. J'ai immédiatement ressenti le besoin de prendre le dessus sur mon envie de fumer. Je m'offre une écoute de temps en temps : ma consommation de cigarettes a diminué et je suis persuadé que l'arrêt définitif est proche.

COMPULSIONS ALIMENTAIRES, Valérie, infirmière anesthésiste au bloc opératoire, Ile de France, 42 ans

Je me sentais guidée, je sentais comme des mouvements de balancement, ma mâchoire était lourde, par moment ma bouche s'ouvrait, quand vous avez dit que je me sentais toute petite, j'avais l'impression de diminuer sur le canapé. Tout était fluide et se faisait simplement, dans la douceur. Je ressentais un bien-être intense, de la sécurité et de la chaleur. Quand vous avez parlé du nuage, et de bras féminins j'ai pensé à ma grand-mère paternelle plus qu'à ma mère, c'est avec elle que je parlais car elle était plus disponible que ma mère, et elle m'a donné des valeurs que j'aime transmettre à mon fils. Une image m'a marquée encore plus que les autres : quand je me sentais bercée, c'était comme si cela pansait mes blessures. Je pouvais prendre autant de temps que je voulais dans ces bras imaginaires qui m'accueillaient sans jugement aucun, et c'était bon de recevoir autant d'attention, de valorisation et d'amour.

PHOBIE DE L'AVION, Yvan, régisseur, Ile de France, 45 ans

Je me rends à Levallois et je trouve rapidement l'immeuble où Myriam consulte. Il est vraiment agréable, l'appartement encore plus. La convivialité se ressent dans cet espace qui me repose dès mon entrée. L'atmosphère est reposante de l'activité de la rue, pourtant proche. La décoration est apaisante, les objets sont bien choisis et montrent une ouverture particulière à l'art et la détente. L'entretien commence de façon calme et détendue. Je m'enfonce dans un canapé qui semble avoir été créé pour m'accueillir. J'ai certaines fois du mal à ressortir ce qui au fond me gène, cependant l'attention et la patience du thérapeute m'incitent au bien-être. Des questions me sont posées pendant une bonne heure comme par ex., la sensation que j'éprouve lorsque l'avion accélère puisque j'ai la phobie de l'avion. Myriam me fait réaliser divers points pour mettre en confiance mes capacités, et j'approuve enfin que les pilotes qui nous guident ont de réelles dispositions à mener à bien leurs passager. Myriam note tous les petits détails de cet entretien afin de faire un suivi personnalisé lors des séances. Mes phrases s'emportent de plus en plus, je me sens en sécurité, et bientôt celles-ci se déversent comme un fleuve. Elle me demande de fermer les yeux et de se concentrer sur sa voix, qu'elle à fort douce et belle, ce qui est agréable. Une voix tout d'abord un peu lointaine qui se fait de plus en plus proche. La notion de temps se perd ici, tout comme l'espace. Les images mentales se font de plus en pressantes. Ses dictées vocales me projettent vers leurs valeurs symboliques. Tout contact avec la pollution urbaine est rompu. Ce voyage interpersonnel aura duré une demi-heure. Lorsque j'ouvre les yeux à nouveau j'ai l'impression d'avoir vécu un rêve profond. Petit débriefing sympathique. Une semaine après j'allais acheter mon billet d'avion, serein, pour 15 heures de vol, et enfin pouvoir voyager en ayant plus cette phobie au ventre. J'ai hâte d'y être !

DEPRIME ET SOLITUDE, Laurence, commerciale, Ile de France, 31 ans

Au fil des séances de PNL, j'avance et je surmonte plus efficacement mes problèmes. Je prends confiance en moi grâce aux différentes techniques que j'apprends avec ma coach : la reformulation, le recadrage, le fait de savoir relativiser une parole ou un évènement, au lieu de tout prendre en direct. Ainsi, je me sens plus libérée car j'apprends à dominer mes problèmes. J'apprécie aussi les séances d'hypnose ericksonienne, qui me permettent de lâcher prise, j'écoute ma coach qui m'aide à visualiser des images qui me correspondent et qui me font réagir pour aller beaucoup mieux. Je me sens mieux avec moi-même, j'ai retrouvé plein d'envies tant au niveau personnel que professionnel.


MESENTENTE CONJUGALE, Zéra, auteur, compositeur, interprète, Californie, 35 ans

Je l'ai fait deux fois. J'ai trouvé les coordonnées de la première personne par internet et de la deuxième par ma voisine. J'y suis allée car ça ne marchait pas dans mon couple, et nous avions failli nous séparer, mais je ne voulais pas au fond me séparer. La première fois c'était avec une personne qui n'était pas compétente, à mon goût. Elle était trop technique. Je ne la sentais pas vraiment. Sa voix m'a beaucoup dérangé, elle n'était pas rassurante. Je sentais qu'elle avait la bouche sèche. Elle était très gentille, mais j'avais l'impression qu'elle jugeait. Elle me disait que si mon compagnon avec qui on avait des accrocs verbaux, était violent, je pouvais contacter la police. Et on en était pas là, lui et moi. Six mois après je suis allé en voir une autre, Myriam Roure. Avec le deuxième « psychologist », c'est comme ça qu'on dit aux États-Unis, je me sentais pourtant en confiance. Beaucoup de sérénité se dégageait d'elle.
Je me souviens que pendant mon enfance en Tunisie, un oncle d'amis était abusif, et j'en avais subi les conséquences. Un de ces amis, s'appelait, appelons pour des raisons de confidentialité, « X ». Mon mari s'appelle « X » aussi, et à chaque fois que j'entendais ce nom, ça me ramenait à l'abuseur.
L'hypnose m'a aidé a annulé cette corrélation entre le prénom de mon mari est cet homme abusif.
Je me souviens de m'être mise à l'aise, j'ai commencé par faire le vide autour de moi, puis j'ai imaginé un endroit où je me sentirais en sécurité ex. une forêt. Myriam me guidait pour avancer, avancer, et rentrer au plus profond de la forêt. A un moment il y a un chemin à droite, je prends ce chemin et je continue d'avancer dans la forêt, j'arrive à une cascade qui devient une marre. Le thérapeute m'a demandé ce que je voyais. Je ne voyais rien. Elle m'a demandé s'il y avait un bruit ou quelqu'un à mes cotés. Et à ce moment là j'ai vu un animal, c'était une panthère qui me guettait. Une personne, qui ressemblait au méchant magicien du Seigneur des Anneaux était là aussi. Je n'avais pas tellement peur du méchant magicien car je savais, je sentais que la panthère était là pour me protéger. C'était comme un sentiment de sécurité qui en ressortait. Sentiment que j'ai avec mon mari, que j'ai récupéré. Avec le temps on s'est retrouvé avec mon mari et c'est super alors qu'on était vraiment à un moment donné comme deux étrangers l'un pour l'autre.
Je vais refaire des séances pour combattre un certain malaise. J'ai des tics, et notamment depuis que je suis toute petite je me mange le doigt et il faut que j'arrête de le faire !

DEBOIRES SENTIMENTAUX - Grégoire, 54 ans, homme d’affaires.

Vous m'avez fait prendre conscience que la première chose à faire était de me donner à moi-même, tous les moyens pour me recentrer, me retrouver. Ma 1ère réflexion toute personnelle concerne la psychanalyse : "La prise de conscience ne donne pas les clefs du changement". Pour aller un peu plus loin, en empruntant une image de Ludwig Wittgenstein, j'ajouterais: "La prise de conscience ne nous permet pas de sortir du piège de la bouteille à mouche". En poursuivant ce fil, j'emprunterai cette fois-ci à l'Ecole de Palo Alto et à Paul Watzlawick (et un peu aussi à Chögyam Trungpa) : "Pour sortir du piège, il faut se décadrer d'un geste et voir la situation de l'extérieur, comme si nous étions déjà hors de la bouteille, et en vérité nous verrons que le piège n'a jamais existé, excepté en nous qui nous sommes crus prisonniers".
Ce sont des thèmes que j'ai beaucoup étudié pour comprendre les mutations scientifiques (j'ai une formation en épistémologie) et j'en ai tiré beaucoup de profit dans l'action, c'est très certainement pour cette raison que l'on m'a confié la "sortie" de dossiers très mal engagés ou largement compromis par suite d'erreurs d'approche, cela nécessitait également parfois dans certaines missions d'affronter des gens à priori sûrs d'eux, voire très agressifs, se considérant comme en terrain conquis et de les arrêter par une attitude imprévue créant soudain du vide dans leur esprit ou mettant du sable mouvant sous leurs pieds. Il y a bien évidemment un côté manipulateur dans cette attitude.
Et si j'ai pu en constater et mesurer l'efficacité, j'ai profondément hésité à le faire dans ma vie privée, par rigidité morale peut-être mais aussi par volonté de ne pas m'avancer dans un comportement de manipulation. Aussi pour cloisonner hermétiquement vie professionnelle et vie privée... afin, qu'il reste dans cette dernière de l'air frais. La psychanalyse m’a fait comprendre que ma mère est une manipulatrice perverse, parce qu'elle ne sait pas exprimer et demander de l'amour autrement que par le chantage affectif, mais cela ne me donnait guère de clefs, excepté d’avoir claquer la porte, ce que j'ai fait.
Résultat : plus tard, je n'arrivais pas bien à recadrer ce que j'éprouvais dans la sphère intime ou seulement après beaucoup d'efforts, ou à contretemps. De même, mes lectures ne me donnaient pas les clefs non plus, car ce n'est pas la lecture qui permet de se décadrer émotionnellement; je ne le faisais que dans le Strum und Drang, batteries vidées. Vous m’avez apporté la pratique, Myriam, et la différence entre la manipulation et la diplomatie et courtoisie, et pour cela je vous en suis reconnaissant. Grâce à nos séances, rapidement, j’ai pu apprendre à mettre la juste et bonne distance avec l’autre, celle de l'altérité qui demeure néanmoins aimante et bienveillante, prendre du recul par rapport à mes émotions et différer mes actions, de manière à être moins impulsif. Merci.

TIMIDITE, David, consultant, Ile de France, 33 ans

Plus que jamais, j'avais besoin d'une aide. Dans la presse et autour de moi des amis vantaient les mérites du coaching pour l'avoir déjà expérimenté. Je suis tombé sur le site de Myriam, coachplanet.net qui proposait des soins thérapeutiques ainsi que du coaching aux particuliers, et aux entreprises. Son accueil au téléphone s'avéra chaleureux et communicatif. Nous avons convenu d'un rendez-vous sur le coup de midi à son cabinet de Levallois.
Nous avons beaucoup parlé, et le contexte semblait idéal pour dire naturellement des choses relatives à mon quotidien, mes habitudes et mon rythme de vie que je souhaitais améliorer. Myriam sut très vite me mettre à l'aise, son tempérament est un cocktail d'équilibre, d'enthousiasme, de chaleur et d'intelligence. Elle ne juge pas. Elle se met au diapason de vos émotions et de vos blessures. Son expertise vous met en confiance. Elle plonge au cour de vos souffrances et les retourne comme un gant pour en faire des forces ainsi que des qualités. Son accompagnement est sans faille. Son soutien psychologique est précieux. Dans une société comme la nôtre où l'individualisme froid a mangé tout ce qui pouvait rester de bienveillant, il est bon de pouvoir compter sur le dévouement et la compréhension fine d'une personne aussi active et aux facultés transformatrices évidentes. Si un ange gardien existe à Levallois, Myriam est son nom. Non pas qu'elle soit une fée et que vous n'ayez plus rien à faire, loin de là. Seul le patient que vous êtes est l'artisan de son propre bonheur. Mais il lui faut trouver le bon outil. Et Myriam est l'instrument qui s'adapte si je puis dire, elle vous bichonne et elle vous accompagne vers le succès avec une rigueur incomparable.

ESTIME ET CONFIANCE SOI

Avant, j'avais peur :
Que l'on s'approche de moi, encore pire lorsque j'imaginais que l'on allait me faire la bise,
de manger à table avec plusieurs personnes,
d'être entourée de personnes, de la foule (sensation d'être bloquée, prisonnière),
de rougir (j'imaginais constamment que parler ou entrer en relation avec quelqu'un aller me faire rougir),
que l'on voit mes émotions, mes peurs (transpiration, rougissement, tremblements),
que l'on me regarde, je me disais : " pourquoi il me regarde, j'ai un truc de travers ? "(si on me regardait c'était forcément parce que j'avais quelque chose de négatif),
que l'on me trouve belle, désirable,
de décevoir, si bien que je faisais plaisir aux autres et non à moi. Par exemple, j'acceptais de faire des choses… voire avoir des rapports sexuels avec des mecs pour ne pas les décevoir, pour être aimée,
de parler face à des personnes, voire me taire en cas de désaccord, car impossible pour moi de m'affirmer face à des points de vue différents,
que quelqu'un arrive dans la pièce où je me trouvais (je guettais la porte ou le moindre bruit, chez moi ou au travail),
de m'engager dans la réalisation de travaux ou autres, car je ne me sentais pas capable,
de passer à la caisse, car je me sentais observée,
d'aller à des réunions de parents d'élèves, formations et autres lieux où je me retrouvais face à des gens dans un endroit fermé,
d'aller à un stand, demander un renseignement surtout à un mec,
j'adoptais une phrase automatique qui était la suivante : " oh non " (angoisse ++++, rougissement, transpiration donc honte, repli voir fuite et éviction des situations potentiellement dangereuses pour moi ou que je considérais comme tel).
Maintenant, je peux :
recevoir un compliment,
accepter une remarque sur ma personne ou mon travail, voirE mon comportement sans le vivre comme une critique, mais comme un moyen de m'améliorer,
décider de ce que je veux sans penser à faire plaisir à l'autre mais plutôt à moi,
vivre une situation, un événement sans anticipation anxieuse, il reste néanmoins quelques appréhensions face aux hommes ou à un auditoire,
me concentrer sur une action, un fait, sans écouter ma voix intérieure qui me détournait du moment présent,
manger autour d'une table avec d'autres personnes sans me sentir " observée "
sans angoisse (ou peu), demander un renseignement à mes collègues, accepter de nouvelles tâches, même si je ne sais pas. Car je pense autrement, je me dis : " je veux apprendre et je ne suis pas obligée de tous connaitre ", ou je ne pense à rien et me fais confiance,
entreprendre des travaux, des nouvelles tâches car je me fais confiance et je crois en moi,
recevoir l'amour des autres ou toutes autres manifestations d'affection, je découvre que cela est agréable,
refouler mes ruminations, mes ratés ou les phrases du style : " j'aurais dû " en me remémorant ce qui s'est bien passé,
ressentir la joie, le bien-être, la satisfaction, le bonheur d'être " remplie " à part entière,
m'asseoir dans le train, n'importe où, sans chercher à me cacher dans un endroit où je me sentirais " en sécurité " appeler ma mère sans colère, rancœur, et lui dire que je l'aime.

CONFIANCE SOI - Sophie, adolescente, 13 ans, manque de concentration et d’engouement scolaire, baisse des notes.

Notre adolescente de 13 ans manque de confiance en elle. Nous sommes exigeants, sûrement trop au regard de ce qu'elle vit en ce début de période de révolte. Myriam l'aide à se considérer plus forte, moins émotive et lui a permis de dominer les angoisses qui la tenaillent régulièrement. C'est un travail de longue haleine, exercé avec doigté, minutie par Mlle Roure que je remercie sincèrement."

CONFIANCE SOI - Jean Jacques, 52 ans, chef d’entreprise

Je dirige une grande entreprise. J'avais le sentiment d'être vigilant et de respecter scrupuleusement la règlementation. Mon attention a toujours été tournée vers l'action et la réussite de l'entreprise. Par dénonciation, je suis entré dans la "machine" judiciaire : garde à vue, mise en examen... une attente de 13 ans. Cette affaire ressurgie par une convocation en correctionnelle ! Malgré un soutien indéfectible de mon épouse, je sombre dans une angoisse lourde, je me sens seul et mesure les conséquences d'une condamnation sur un avenir inachevé. Myriam a su me donner les moyens d'affronter et de préparer cette épreuve, violente psychologiquement. Nous avons travaillé l'ensemble des éléments : l'approche de l'autre, les postures physiques, les mots qui pourraient porté en ma défaveur ou en ma faveur. Myriam m'a permis de vivre en confiance et sérénité cette période sombre, m'a fait progressé dans le management et la compréhension de l'environnement humain. Je dois vous dire que j'ai été relaxé.

DEPENDANCE AU PASSE, Pascal, chef de projet, 27 ans, Ile de France

je me suis tourné vers un coach pour devenir plus efficace et autonome dans la gestion de ma vie. Plus précisément, j'avais pour objectif une reconversion professionnelle, la gestion de mon temps, l'amélioration de la qualité de mes relations avec mon entourage, la connaissance de moi-même, de mes points forts, de mes aspirations, et un dernier objectif, avancer dans mes relations sentimentales.
Lors de la première séance, j'ai perçu Myriam Roure comme une personne dynamique, vive. Elle portait une tenue vestimentaire assez moderne, ses cheveux courts m'évoquaient une forte personnalité. elle à fait preuve d'aisance et d'assurance dans sa pratique.
Comme elle est coach et psychothérapeute, j'ai trouvé que la conversion était bien dirigée vers un but d'efficacité et de rapidité, ce que je recherchais. Le cabinet bien organisé et agréable est un plus, car je m'y sentais bien.
Elle m'a d'abord demandé quel était mon objectif. Il fallait que je le définisse en termes précis, concrets, et positifs. Par la suite, elle m'a invité à m'allonger et à fixer un point, et m'à guidé d'une voix calme vers un état de relaxation. J'ai ressenti une détente, à la fois de mon esprit et de mon corps. J'ai eu le sentiment d'être exclusivement attentif aux perceptions émanant de mon corps, tout en parfaitement conscient. La coach m'a alors proposé d'imaginer un personnage vivant une situation en rapport avec l'objectif que nous avions fixé. Je percevais cette scène, qui m'apportait des émotions agréables, avec beaucoup de sérénité et de plaisir. Si un sentiment désagréable survenait, Myriam m'invitait à faire un retour en arrière en imaginant que je visionnais un film sur un écran et que je pouvais actionner le bouton « retour en arrière » du magnétoscope pour modifier le souvenir et le rendre agréable à ma convenance.
Elle demandait de signifier par un geste du doigt si cette scène me convenait. Une fois le film terminé, elle m'a demandé d'imaginer que je me fondais dans l'écran de projection et que le personnage que j'avais vu était moi-même. Enfin, elle m'a amené à prendre progressivement conscience de mon environnement extérieur (les bruits et les objets de la salle, ma position). J'ai ouvert les yeux, je me sentais dans le même état que si je m'étais assoupi, comme un petit peu endormi, et je continuais d'éprouver la sérénité que j'avais ressentie pendant la séance. Je me souvenais de tout ce qui s'était déroulé et j'étais resté parfaitement maître de mes pensées.
Les séances d'hypnose ont progressivement changé mon mode de pensée. J'ai appris à me concentrer davantage sur des objectifs, la situation présente et l'avenir plutôt que sur les problèmes et le passé. J'ai aussi appris à être plus positif et confiant. Le travail de coaching avec la PNL associé à l'hypnose a changé ma manière d'agir dans la vie courante dans le sens où j'avance naturellement avec plus de facilité. L'hypnose a débloqué des mécanismes de blocages sans que j'aie eu à me forcer pour y parvenir.
Selon moi, c'est une démarche où l'on avance d'autant plus efficacement que l'on a défini un objectif précis. En effet, tout le travail de coaching est rentabilisé par la volonté d'atteindre ses objectifs, et Mlle Roure me faisait souvent avant les séances un rappel de ma détermination d'objectifs.

Manque d'estime de soi qui engendrait de l'inhibition, Bénédicte, travaillant dans la relation d'aide, Issy les Moulineaux, IdF

Je vous perçois comme une personne douce et bienveillante. Votre approche est explicite en fonction avec des objectifs que je vous ai définis. Parfois, les mots sont futiles et dépourvus de sens pour exprimer le ressenti d’un arc-en-ciel d’émotions, ce qui est important c’est d’expérimenter, d’explorer et de découvrir son fonctionnement, sa personnalité ou sa nature profonde, grâce à un voyage intérieur et pour y parvenir, différentes techniques, aussi bien sur le mental que sur le corps, sont proposées. Les séances sont comme des couleurs peintes et des essences recueillies qui ont pour finalité d’harmoniser le corps et l’esprit dans son unité et sa quintessence la plus complète.
J’ai beaucoup apprécié les séances de thérapie. Les changements sont certainement présents. J’ai l’impression que ma peau est un tableau noir sur lequel il y aurait eu les stigmates de la perversion et vos mains les ont effacés d’un simple geste comme une éponge imbibée d’eau qui dilue la craie sur le tableau, et à la place, j’ai dessiné avec des pastels de couleurs, des fleurs, quelques arbres et des papillons. Depuis, je me sens mieux, vivante et plus harmonisée avec moi-même.
J’ai une certitude : je suis faite pour quelque chose de précis et cela diffère de mon poste actuel. C’est important pour moi de déterminer mon fonctionnement inconscient et j’actionnerai tout ce qu’il est nécessaire pour me réaliser.

Témoignage, Quand l’anxiété engendre le perfectionisme


Avant d’être coachée par Myriam, j’ignorais le potentiel que l’hypnose pourrait avoir sur notre mental.
J’ai expérimenté une première séance d’hypnose en cabinet qui a eu des effets immédiats : j’étais complètement relaxée, détendue, et je m’apercevais que les problèmes que je vivais n’étaient pas insurmontables, mais que j’avais uniquement besoin de lâcher prise, de me centrer pour pouvoir réfléchir d’une manière saine et trouver des solutions.
J’ai ensuite acheté deux de ses CDs que j’écoute régulièrement le soir avant de me coucher, notamment quand le stress du travail m’accable; la musique douce, en alternance avec des tonalités fermes, le texte bien choisi avec sa voix reposante, créent une ambiance propice pour influencer notre subconscient avec des idées positives, en permettant d’avouer nos peurs, de nous accepter tels que nous sommes, de ne pas craindre les avis de notre entourage.
Après avoir écouté le CD (cela ne prend que 30 minutes), j’ai un sommeil très reposant et le matin en allant au travail, je suis zen et sûre de moi.


ROURE MYRIAM
HYPNOTHERAPEUTE ET FORMATRICE EN HYPNOSE
LEVALLOIS PERRET
www.coachpanet.net   &  06 10 92 48 26

lundi 23 mai 2011

L HYPNOSE CONTRE LA DEPRESSION

Notions générales sur la dépression :

Il faut savoir que la dépression touche 10% des hommes et 20 % des femmes à un moment de leur vie et il faut distinguer dépression de déprime. Une déprime qui s'installe et dépasse trois semaines et appelée dépression. Il ne faut en aucun cas ni sous estimé un épisode dépressif, ni le juger. Les banalités affligeantes qui associent encore la dépression à la folie ou un mal incurable n'ont plus lieu d'être. 

Comment distinguer un épisode dépressif, ou une dépression : par la perte de l'appétence, donc non seulement de l'appétit, mais de l'appétit de vivre, une démotivation générale, de la tristesse, de l'anxiété, de l'insomnie ou hypersomnie, soit la personne fuit la réalité douloureuse dans le moment qu'elle traverse en dormant, soit elle n'arrive plus à dormir, si elle n'à pas l'habitude de pratiquer l'évitement. La dépression se caractérise enfin par le fait que la personne voit tout en noir, elle est très pessimiste et n'arrive plus à se dynamiser. 

Dire à une personne en dépression de se bouger est stupide, enfin, elle n'en à plus l'énergie et elle en est bien incapable. Les personnes en dépression doivent être écoutée, car elles ont un grand besoin de se confier, d'évacuer un trop plein douloureux, et d'attentions, de petits gestes simples mais valorisants qui vont leur redonner confiance en elle et en leur capacités. elle ont besoin aussi d'être traitée avec douceur et bienveillance et non jugement et impatience, car une dépression réactionnelle (c'est à dire liée à un ou plusieurs évènements douloureux, que cela soit un licenciement, un deuil, une séparation, etc.) peut arriver à tout un chacun.

formations et consultations en hypnothérapie  

L'hypnose aidera dans un premier temps à détendre la personne,  à se valoriser à nouveau, toutes les techniques de reconstruction du moi seront bienvenues, et à se dynamiser à nouveau. Les techniques appropriées pour retrouver les évènements traumatisants et les surmonter seront aussi utiles, ainsi que celles aidant à dépasser et éradiquer le sentiment d'imposture, d'inutilité et d'inadaptation. L'hypnose soulage aussi la personne en dépression car elle lui permet temporairement d'échapper à la réalité traumatisante, et de son état dont elle à honte. Les séances de réconfort procureront aussi un apaisement aux anxiétés de la personne en dépression et pourront l'aider à retrouver le sommeil. enfin les techniques pour former un sens positif de l'identité et des liens affectifs. 

Bien sur, un recours à un antidépresseur est un traitement psychiatrique en parallèle pourra parfois être nécessaire. Car une dépression peut affecter les fonctions cognitives au point que la personne en dépression peut avoir des hallucinations visuelles ou auditives et une tendance à la paranoïa.